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jeudi 12 avril 2007

NOTE DE SYNTHESE Avril 2007

A lire UNITERRE, on peut chercher ce qui sépare son projet des expériences alternatives d'écovillages, communautés solidaires, coopératives foncières..
J'ai d'abord besoin de répondre, qu'on peut douter franchement de la cohérence d'un projet, voulant rendre le sens de l'observation analogique à notre intelligence analytique surdéveloppée, s'il n'était qu'un de plus à croire qu'il a tout inventé!
Rien n'est nouveau et heureusement...
C'est parce que tout existe déjà, mais de façon divisée, fractionnée, révoltée parfois, que ce projet peut envisager une solution fédératrice, capable de mutations de société plus générales.
Les expériences alternatives - comme le blog vous le raconte dans ses premiers articles - sont une inspiration essentielle, les marches acquises avant une entité d'urbanisme, l'UNITERRE, non pas traitée comme un nouveau cas isolé et expérimental MAIS accessible au plus grand nombre selon une adaptation de la législation qui incite à cette cohabitation fraternelle malgré la complexité actuelle des formes de vie et d'habiter de la société.
On peut alors se demander ce qui incitera les citoyens à faire ce qu'une minorité originale a expérimenté dans des formes contradictoires pas toujours harmonieuses.

L'AMAP est le meilleur début de réponse à ces doutes, car d'ores et déjà nombre de citoyens d'horizons très variés adhèrent à ce renouveau écologique de la production/vente de proximité. Et participent de leurs propres terres parfois à la constitution du patrimoine foncier nécessaire aux cultures des produits mis en vente.
Mais bien d'autres expériences (SEL, Jardins voisins, jardins d'insertion,..) réussissent à s'insérer réellement dans la vie locale pour retrouver cette notion du "voisinage fraternel".

N'est-ce pas l'intérêt de la diversité et de la nouveauté des intelligences d'apporter ici maintenant pour toute forme d'activité - non plus son doute autiste comme on l'a fait jusqu'ici du dérèglement climatique - mais son lot de créativité et de juste harmonie, communication, civilisation au sens accompli ?

A condition que l'Etat, les élus, la société, ses statuts intégrent ce nouvel engagement possible et lui donnent une forme accessible à une adaptation de la société entière.
C'est l'urgence du péril planétaire qui rendra - ou pas - la généralisation de cette forme d'habiter, conjoncturelle...

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